100% nature
Les Fleurs d’Estelle, une militante de la beauté de la nature
Mon rêve, c’est que la nature reprenne une place privilégiée dans vos maisons et qu’elle devienne une source d’inspiration au quotidien.
Mon défi, c’est de fleurir votre quotidien et vos relations tout en respectant l’environnement.
Mon ambition, c’est de vous offrir ce plaisir simple, mais essentiel, de contempler la délicatesse des fleurs et de respirer leurs parfums subtils.
Pour honorer la beauté de la nature, je crée des bouquets écofriendly, du pétale à la tige, en restant fidèle à une démarche respectueuse de l’environnement.
Une alternative écoresponsable à la fleur coupée
Fleurs françaises de saison
Mon engagement pour préserver l’environnement repose sur l’utilisation de fleurs 100 % françaises et de saison, semées et cultivées dans le respect de la vie des sols.
J’aime composer avec la richesse des variétés locales, pour créer des bouquets uniques tout en respectant la nature.
En suivant la saisonnalité : les tulipes et anémones au printemps, les pivoines et lilas à l’approche de l’été, puis les roses, cosmos et zinnias jusqu’aux dahlias en automne.
Les fleurs que je choisis sont arrosées à l’eau de pluie, souvent issues de mon jardin, qui offre un refuge préservé aux insectes pollinisateurs.
Bouquets confectionnés dans mon atelier à Guidel près de Lorient
Dans mon atelier à Guidel (Morbihan), je confectionne chaque bouquet en privilégiant des matériaux respectueux de l’environnement, sans utiliser de mousse florale.
Et le petit plus ? Vos bouquets sont livrés à vélo, dès que possible, pour un geste encore plus écoresponsable.
Livraison à vélo
Pour limiter l’empreinte
carbone, les bouquets peuvent être livrés à vélo (à Guidel et alentours) dans des emballages écologiques et recyclables.
Le saviez-vous ?
La fleur coupée pose un vrai problème environnemental. Environ 80 % des fleurs coupées ont parcouru des milliers de kilomètres en avions réfrigérés depuis le Moyen Orient, l’Afrique, l’Amérique centrale et l’Amérique du sud.
Les Fleurs produites dans des pays comme le Kenya et la Colombie sont cultivées en monoculture pour réduire les couts de production. Cette production intensive contribue à faire diminuer les ressources en eau et favorise le développement d’insectes nuisibles.
Pour y remédier les sociétés productrices utilisent des produits chimiques souvent interdits en Europe. Ces fleurs, la terre et les ouvriers qui y travaillent sont exposés à un cocktail de produits chimiques hautement toxiques.
Membre du collectif de la fleur française
Cette association, au service du slow flower, soutient une agriculture plus responsable et a vocation à faire évoluer les pratiques de consommation.